Fêtes Populaires au Burkina Faso


Blaise Compaoré quitte le pouvoir: une bonne chose?

Après avoir pris le pouvoir il y a 27 ans suite à un coup d’éclat sanglant ayant couté la vie au Président légitime du Burkina Faso le Capitaine Noël Isidore Thomas Sankara, le Président du Burkina Faso annonce son départ, chassé par la rue, les citoyens et les différents acteurs du contre-pouvoir.

La Présidence de Blaise Compaoré, atteinte par le sang et entachés de plusieurs accusations de meutres, conspirations, népotisme et de favoritisme pour ne citées que celles là. Parmis les disparus, le cas Norbert Zongo est probablement le connu, le plus documenté, le plus scandaleux  et le plus clair à été relégué aux oubliettes jusqu’à maintenant : Mais nous n’oublierons jamais Norbert Zongo et les autres victimes et souhaitons que le nouveau régime et très probablement la nouvelle république, se penche sur ces dossiers et que justice soit rendue.

Alors que le régime Compaoré à été caractérisé par une relative stabilité et une ignorance presque complète des besoins et besoin du peuple Burkinabè  ploncheant le pays dans une situation de pauvreté extrême et des populations  laissées à elles mêmes par un gouvernement préocupé et une Présidence par ses propres besoins.

De plus, un vide certain à été créé au cours des 27 dernières, et longues, années parmis les acteurs et particulièrement dans les politiciens préoccupés par leurs frères et soeurs, mères et pères, des politiciens avec une véritable vocation sociale et étatique. Combiné avec une montée d’un ‘islam politique, voir même extrémiste, dans les pays voisins et le Nord du Burkina Faso et la complexité des relations et des jeux de pouvoir entre les différentes ethnis et groupes culturels du Burkina Faso, il nous apparait  incertain que se changement de Président, avec le départ de Blaise Compaoré du pouvoir entraine une véritable révolution dans la culture politique et dans la conception même du sens du pouvoir au sein de la classe politique. Vous croyez-vous que la situation changement pour le mieux ou avez vous certaines craintes de voir encore une fois notre peuple roulé dans la farine… de mil ?

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Jazz à Ouagadoudou 2010

Jazz à Ouaga 2010, le festival de jazz de Ouagadougou se tient cette année du 23 avril au 1er mai 2010. Pour cette 18e Edition du Festival International de Musique Jazz à Ouagadougou tenue sous le thème de : La contribution du jazz dans l’éducation musicales et artistiques des publics, l’organisation nous promet une programmation « éclectique, rassemblant des pointures du Jazz toutes génération confondues ».


spot Jazz à Ouaga 2010
envoyé par gideonvink. – Clip, interview et concert.

Ce festival a été créé en 1992 à Ouagadougou, à l’initiative du M. Guy Maurette alors directeur du CCF-Georges Méliès et d’un groupe de mordus de jazz. La première édition du Festival comprennait bien sur des groupes nationaux mais aussi d’Afrique, d’Europe et d’Amérique. Le succès de l’évènement n’a pas tardé vite et le festival se tient depuis, tous les ans depuis bien que la formule à quelque peut changer pour regrouper les activités sur une semaine. Depuis 1997, le Festival affiche son ambition de démocratiser le jazz et investit d’autres lieux comme le Zaka et le Wakatti Arts Café. C’est l’édition 2000 du Festival qui à initier la décentralisation en proposant des concerts hors de Ouaga, soit à Bobo-Dioulasso (385 km) et à Koudougou (100 km).

L’édition 2010 du festival Jazz à Ouaga comporte de nombreuses activités pour les amateurs de jazz et de musique en général dans les villes de Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Ouahigouya, Dano et Gaoua. Le programme complet du festival est disponible sur le site web de Jazz à Ouaga .

Entre autres artistes invités on retrouve :

Le Nouveau Trio Gitan sous la houlette de Christian Escoudé (France)
Mina Agossi (France-Bénin)
Toumani Diabaté & le Symétric Orchestra (Mali)
David Tayorault Quintet (Côte d’Ivoire)
Bassékou Kouyaté & le Ngoni Ba (Mali)
Jean-Christophe Briant Quintet (France)
Cry Baby Quartet (Hollande)
Marcel WORMS Trio (Hollande)
King Kora big band (Suisse)
Alexandre Furnelle Quartet (Belgique)
Yapa Jazz Quartet (France)
Hip-Jazz Trio (France)
Pitch Quartet (France)
Dumba Kultur (Burkina Faso)

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FESTIMA 2010 : Le Festival International des Masques et des Arts de Dédougou

La 10e édition du Festival International des Masques et des Arts de Dédougou ou FESTIMA 2010 est prévue du 24 au 28 février 2010 au Burkina Faso. Le programme en détail peut être télécharger ici sur le site web officiel du festival international des Masques et des arts de Dédougou.
Ce festival culturel est tenu chaques 2 ans et il a été lancé en 1996 à l’initiative de l’Association pour la sauvegarde des masques (ASAMA). Le festival vise à renforcer l’identité culturelle issue des masques et à revitaliser cette tradition au niveau régionale, sous régional et international.
Festival international de masques de Dédougou

Festival international de masques de Dédougou

Le thème de la 10e édition est « Caricature, dérives et détournements du masques ». Après plus de 10 ans de rayonnement et de valorisation de la tradition des masques, de nouvelles questions sont apparues. En effet, principalement en raison du tourisme, les caricatures, les dérives et les détournements du masque sont de nos jours les principales préoccupations des sociétés traditionnelles de masques.

Cette 10e Edition du festival international des masques et des arts de Dédougou accueillera 34 villages ou groupes de sociétés de masques d’Afrique, d’Europe et d’Amérique. Le festival de masques de Dédougou au Burkina Faso permet aussi l’observation des divers types de masques traditionnels, notamment, les masques de feuilles, les masques de fibres, masques de plumes, masques blancs, masques de paille, masques de peaux.

Le FESTIMA 2010 s’articulera autour de quatre composantes :

–  Festival de masques
–  Symposium sous régionale sur le thème de l’édition
–  Marché des communautés
–  Soirée cabaret

Pour avoir déjà assister à 3 reprises au FESTIMA, nous pouvons vous dire que c’est un des rendez-vous à ne pas manquer au Burkina Faso. En effet antant sur le plan social que culturel c’est une occasion unique de se divertir et de participer à une communion de savoir et d’expérience culturelle unique. Un rendez-vous à ne pas manquer pour tous les pationnés d’art, de culture et de savoir traditionnel. Au plaisir de vous y croiser.

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Journées cinématographiques de la femme africaine

La délégation générale du FESPACO à annoncer hier le 1er février, lors d’une conférence de presse tenu à Ouagadougou, le lancement des Journées cinématographiques de la femme africaine, que auront lieu du 3 au 7 mars 2010. Plusieurs personnes incluant nous se demandaient ce qui advenait du Cinéma Africain en dehors du festival tenu à chaques 2 ans. Maintenant, les femmes cinéastes Africaines auront une vitrines leur permettant de mieux faire connaitre leur travail, leur Art.  En effet, l’événement se fixe pour objectif de promouvoir la femme africaine de l’image, de traiter des difficultés que ces professionnelles rencontrent et de participer au réseautage de l’évènement avec les autres festivals de ce genre dans le monde.

L’évènement fera place à au moins 37 films qui ont été soigneusement sélectionner (longs métrages, courts métrages, documentaires série TV) et plus de 20 pays sont attendus dans 4 salles de projection à Ouagadougou ( le ciné Burkina, le ciné Neerwaya et celles du Centre culturel français) et une à Koudougou lieu de la Journée internationale de la femme cette année. La manifestation sera ouverte également aux cinémas japonais et indien. Les journées cinématographiques de la Femme Africaine seront présentées sous forme de gala sans une remise de prix mais les oeuvres invitées recevront des trophées de participation dénommées Saraaouina.

Nous croyons que cet évènement contribuera positivement au cinéma africain en général et aux femmes qui y oeuvrent au Burkina Faso ainsi qu’à toutes les femmes du continent qui trop souvent peinent à faire entendre leur voix, leur réalité et leur vision du monde qui les entourent et dont elle sont des actrices de haute importance.

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Sagamusik , un Salon pour la promotion de la musique Africaine

Du 19 au 21 novembre 2009, Sagamusik, un salon crée pour promouvoir et mieux faire connaitre la musique africaine se tiendra à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. Cette année le thème sera placé sous le thème : L’industrie musicale en Afrique : forces et faiblesses,

L’objectif du salon SagaMusik est de répondre dans la mesure du possible aux attentes des professionnels de la musique tout en sensibilisant les non-initiés à l’importance et la spécificité des artistes Africains. Pour les professionnels du domaine de la musique africaine et du Burkina Faso, ce Salon sera à la fois une vitrine, tourné vers l’international, et leurs homologues du sous-continent Ouest Africain.

Le public en général est lui pris à partis via les différents Stands d’exposition, lieu de recontre et d’échange avec les artistes et les professionel du millieu artistique, ainsi que par les nombreux spectacles et performance qui accompagne l’évènement. Une quarantaine d’artistes musiciens, venus du Burkina de la Guinée, de la Côte d’Ivoire, tels que Bailly Spinto, Petit Meguelito, Daouda Koné, Fodé Baro, Victor Démé et des artistes burkinabè tels Floby, Wendy, Bil Aka Kora, Aly Verhutey, Mys participeront à l’évènement.

Le salon se terminera le samedi 21 octobre avec la remise de prix aux meilleurs artistes burkinabè de cette année. Les organisateurs feront pour ce faire la compilation des chiffres recueillis auprès du Bureau burkinabè des droits d’auteur (BBDA), des producteurs et des distributeurs. Ces meilleurs artistes seront récompensés respectivement par des disques de diamant, de platine, d’or, d’argent, d’ivoire, d’ébène et de cauri.

La première édition du salon qui a eu lieu l’an passé, avait enregistré plus de 5000 visiteurs et la participation de 20 structures oueuvrant pour la musique Africaine. Cette 2e édition nous en promet beaucoup et saura très certainement dépassé les attentes et faire rayonner la Musique Africaine et les artistes qui luttent pour la faire connaitre et apprécier.

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Le Masque au Burkina Faso – Le rapport des Winyé avec le Masque

Art, symbolisme et religion se cotoient étroitement en Afrique de l’Ouest et au Burkina Faso en particulier pour le cas qui nous intéresse. Voici une série d’extraits vidéo qui traite du rapport qu’entretiennent les Winyé, un groupe ethnique de l’Ouest du Burkina Faso, avec les masques traditionnels. Les Winyé , aussi appelés Winiamas, Kolsi ou Ko sont réputés pour leurs masques, pour la plupart zoomorphes ou anthropo-zoomorphes, en bois avec pigmentation polychrome (blanc, noir et rouge) décorés de motifs géométriques assez élaborés et parfois dotés d’une superstructure sous forme de lame, elle-même surmontée d’éléments figuratifs.

Les autres extraits sont disponibles ici :

Le masque chez les winye du Burkina faso, partie 2

Le masque chez les winye du Burkina faso, Dernière partie

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Semaine nationale de l’internet au Burkina Faso 2009

La semaine nationale du l’Internet au Burkina Faso en est à sa 5ième Édition. C’est sur le thème « TIC et genre » que se déroule cette semaine Nationale de l’Internet 2009, du 22 au 30 Mai 2009. Le coup d’envoi de cette semaine Nationale de l’Internet à été lancée lors de la cérémonie officielle d’ouverture qui a eu lieu le vendredi 22 mai, à Ouagadougou, en présence du Premier ministre du Burkina Faso, Tertius Zongo.

Selon les paroles de Ministre des Postes et des TIC (MPTIC), M. Noel Kaboré, le choix de ce thème répond à la volonté d’interpeller tous les burkinabè hommes comme femmes, à se mobiliser et à lutter contre la discrimination de sexes constatée au niveau de l’accès aux TIC : « Les débats et échanges au cours de la semaine permettront de sensibiliser les femmes sur l’usage des TIC en démystifiant ces outils aux yeux de la gent féminine qui, par ignorance, peut en être rebutée.

En effet, l’Internet étant un outil de communication relativement nouveau au Burkina Faso, la connaissance et utilisation de l’Internet n’est pas encore généralisé à toute les couches de la société. Tout comme l’accès à l’éducation, l’accès et les connaissances liées à l’Internet échappe trop souvent au femmes et jeunes filles du Burkina. Pourtant de nombreuses organisations et des nombreuses activités commerciale sont principalement le fait des femmes et les avantages d’internet comme outil de réseautage, de communication et de promotions des activités ne sont plus à démontrer.

Selon nous, le principal enjeux liés au TIC au Burkina Faso en est un de contenu. En effet, le nerfs de la guerre sur Internet est la présence sur Internet de contenus produits et destinés au populations locales. Le fait est que l’information disponible sur Internet n’est pas toujours appropriés ou du moins en relation avec les problématiques et réalités du peuple Burkinabé. La création de sites web d’information sur les activités ainsi que la mise en relation des Internautes Burkinabè et étranger sur des enjeux et des sujets communs est très importantes car cela permet de se concentré sur les enjeux qui nous touchent et de trouver des solutions nouvelles et appropriés à la situation du Burkina Faso.

Nous croyons donc que la Semaine de l’Internet est un outil d’une importance capitale dans la promotion et l’éducation de populations sur les avantages liés à l’utilisation de l’internet et des possibilités que celui-ci nous offrent. Nous invitons donc tous les acteurs à contribuer à la création et la promotion de contenus Burkinabè afin de prendre part à la société de l’Internet et de promouvoir les idées et les projets du Burkina Faso sur la scène Mondiale.

Pour plus d’informations sur cette semaine de l’internet nous vous invitons à visiter les sites suivants  :

La 5e édition de la Semaine Nationale de l’Internet au Burkina Faso

Burkina Faso: 5e Semaine nationale de l’Internet : Ouvrir une fenêtre au genre

Semaine Nationale de L’internet au Burkina

Semaine Nationale de l’Internet et des autres TICs au Burkina Faso

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FESPACO 2009 : 21 ième édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou

Du 28 Février au 07 mars 2009 avait lieu la 21ième édition du FESPACO 2009, le festival de films Panafricain qui fait littéralement rayonner la ville de Ouagadougou et le Burkina Faso chaque 2 ans à travers le sous-continent et le monde entier. Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou communément appelé le FESPACO est le plus grands festivals de films africains. Il se déroule tous les deux ans dans la capitale du Burkina Faso, Ouagadougou. Le FESPACO est né en 1969, sous le nom de la Semaine du cinéma africain, un évènement annuel. C’est en 1972, qu’il change de nom pour Le Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou, et devient bisannuel à partir de 1979. Le nom du FESPACO est par la suite changé pour Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou afin de permettre une meilleure visibilité ainsi que de plus grande possibilité de diffusion aux réalisateurs et film participant. C’est également en 1972 que nait le grand prix du festival qui porte le nom d’étalon de Yennenga, en référence au mythe fondateur de l’empire Mossi.

Les objectifs principaux du FESPACO sont de :

  • Favoriser la diffusion de toutes les œuvres du cinéma africain,
  • Permettre les contacts et les échanges entre professionnels du cinéma et de l’audiovisuel,
  • Contribuer à l’essor, au développement et à la sauvegarde du cinéma africain, en tant que moyen d’expression, d’éducation et de conscientisation.

De plus, le FESPACO a également comme rôle d’organiser des projections à but non lucratif pour des zones rurales de Burkina Faso en partenariat avec les ONG, les associations, les écoles et autres institutions publiques et privées remplissant ainsi l’objectif de promouvoir le cinéma africain dans les festivals internationaux et d’organiser diverses manifestations autour du cinéma africain.

Cette année, L’étalon d’or, prix remis au grand gagnant et accompagné de la somme de 10 millions de FCFA, a été attribué au film “Teza“, de l’éthiopien Haïlé Gérima, le samedi 7 mars 2009. Pour en connaitre plus sur cette Édition 2009 du FESPACO nous vous invitons à regarder cette vidéo :


Au coeur du festival du film au Burkina Faso
by Nzwamba

Où encore de vous rendre sur le site officiel du FESPACO

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Opinion sur le Mariage Forcé au Burkina Faso

Le mariage est une étape importante de la vie, une étape qui unie d’abord deux personnes. Au Burkina Faso, le mariage n’est pas un geste individuel car il unis plus que les mariés, il.unis deux familles, sert à sceller des alliances entre clans et aussi à assurer une survie matériel. Il est donc fréquent surtout dans les zones rurales ou les valeurs traditionnelles sont demeuré bien vivantes de voir les famille décidé avec qui seront échangé les cauris. Dans une société ou les ressources sont limités et la polygamie est omniprésente, ces mariages servent souvent à établir le statut social et de filets social en cas de décès.

Qu’on soit pour où contre, les mariages forcés existent bel et bien au Burkina Faso et son acceptés à divers degrés par les populations. De plus, comme les mariages d’amour, des fois ils réussissent des fois ils échouent. I

Voici un témoignage d’un jeune homme sur la mariage forcé au Burkina Faso :

Et vous ? Que penser-vous du mariage forcé ? Faites nous part de votre opinions et de vos commentaires en utilisant le lien commentaire ci-dessous !

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Célébration de funérailles chez les Dagara du Burkina Faso

Voici un petit vidéo découvert via dailymotion qui illustre une cérémonie de funérailles chez les Dagara du Burkina Faso. Les Dagara sont environ 500 000 à peupler le Burkina Faso et vivent près de la frontière du Ghana. Ils sont aussi les voisins des Lobi, plus connus et documentés, et établis encore un peu plus au sud. Peuple d’origine Wa du Ghana, ils vivent surtout d’agriculture et de chasse. Leur art proche de celui des Lobi est caractéristique.


FUNERAILLES DAGARA
by cenamax2jr
En suivant le lien qui suit vers un blog de coopérants Canadien, vous pouvez en apprendre plus sur le peuple Dagara du Burkina Faso
N’hésiter pas à partager vos connaissances sur les Dagara avec nous via les commentaires ci-dessous.

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