Art Africain et Burkinabé au Burkina Faso


Cinéma numérique ambulant du Burkina Faso

L’association Cinéma numérique ambulant (CNA) est une organisation culturelle à but non lucratif qui diffuse des films africains auprès des populations démunies au Burkina Faso, lance le projet « Zaalem, ye-ecole de l’image » au profit de jeunes démunis issus des centres de réinsertion sociale. Le but du projet à terme est d’apprendre à 15 d’entre eux de connaître les b.a.-ba du cinéma et les techniques de la diffusion mobile en numérique.Ce projet d’une durée de 8 mois permettra certainement au participants d’appréhender et de comprendre la culture cinématographique du Burkina Faso et de l’Afrique de l’Ouest, de se former aux différentes techniques de diffusion numérique c’est à dire les projections ambulantes sur grand écran et via Internet, de mettre en valeur les connaissances acquises lors des stages au sein des équipes de projection du CNA ainsi que d’apprendre à transmettre ces connaissances et cette pation et ainsi renforcé le Cinema africain par sa diffusion et sa proximité avec les gens. Bref une excellente opportunité pour ces 15 jeunes gens qui l’éspérons nous participeront à cet éveil de conscience des populations pour le Cinema du Burkina Faso.

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Dofanka reviens sur les inondations de Ouagadougou de 2009 en slam

Le clip le déluge met en scène le jeune artiste Burkinabè Dofanka. Ce jeune issu du cartier populaire Tanghin à Ouagadougou, à déjà enregistré plusieurs morceaux qui tourne sur le ondes radio du Burkina Faso et lors de nombreux concerts à travers tout le pays. Ayant débuté sa carrière dans la mouvance du Rap africain, Dofanka se dirige par la suite vers le Slam, un style musical et poétique encore peu connu au Burkina Faso, mais qui y fait son petit bout de chemin.

Un an après les terribles et apocalyptiques inondations du 1er septembre 2009 à Ouagadougou : Le 1er septembre 2009, à Ouagadougou, il est tombé, en moins de 12 heures, plus de 300 mm d’eau. Dans ce morceau de l’artiste Dofanka des textes réfléchis et percutant pour se souvenir de ces inondations qui auront fait 3 morts et plus de 150 000 sinistrés relocalisés dans l’urgence. Ces innondations, dramatiques, auront toutefois une conséquence positive : un fantastique élan de solidarité qui s’est manifesté dans la capitale et dans tout le pays, pour porter assistance aux sinistrés.

Le clip réalisé par Gérard Penkhoss photographe de profession passé à la camera vidéo depuis un peu plus d’un an et qui à déja réalisé 4 documentaires dont 3 passent régulièrement sur plusieurs chaines TV du Burkina  comme la RTB, BF1, TV Z. Attiré par la musique, l’écriture et le slam, il a enregistré avec Dofanka plusieurs morceaux.

Voici les liens vers sont site officel et son blogue :

http://www.gerardpenkhoss.com/
http://www.gpenkhoss.skyrock.com

Nous profitons de cet article pour apporter nos meilleur souhaits et conscientiser nos lecteur sur le malheur qui frappe encore le Burkina Faso mais aussi plus fortement nos voisins et frères du Bénin qui sont actuellement frappés par de terribles innondations. Espérons pour eux que la situation se fera meilleure et que les dommages seront limités. Voici quelques articles témoignant de cette catastrophe :

Le HCR soutient 680 000 sinistrés au Bénin
Les inondations ont fait environ 60 morts au Bénin
Les inondations au Bénin ont fait 360.000 sinistrés

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Jazz à Ouagadoudou 2010

Jazz à Ouaga 2010, le festival de jazz de Ouagadougou se tient cette année du 23 avril au 1er mai 2010. Pour cette 18e Edition du Festival International de Musique Jazz à Ouagadougou tenue sous le thème de : La contribution du jazz dans l’éducation musicales et artistiques des publics, l’organisation nous promet une programmation « éclectique, rassemblant des pointures du Jazz toutes génération confondues ».


spot Jazz à Ouaga 2010
envoyé par gideonvink. – Clip, interview et concert.

Ce festival a été créé en 1992 à Ouagadougou, à l’initiative du M. Guy Maurette alors directeur du CCF-Georges Méliès et d’un groupe de mordus de jazz. La première édition du Festival comprennait bien sur des groupes nationaux mais aussi d’Afrique, d’Europe et d’Amérique. Le succès de l’évènement n’a pas tardé vite et le festival se tient depuis, tous les ans depuis bien que la formule à quelque peut changer pour regrouper les activités sur une semaine. Depuis 1997, le Festival affiche son ambition de démocratiser le jazz et investit d’autres lieux comme le Zaka et le Wakatti Arts Café. C’est l’édition 2000 du Festival qui à initier la décentralisation en proposant des concerts hors de Ouaga, soit à Bobo-Dioulasso (385 km) et à Koudougou (100 km).

L’édition 2010 du festival Jazz à Ouaga comporte de nombreuses activités pour les amateurs de jazz et de musique en général dans les villes de Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Ouahigouya, Dano et Gaoua. Le programme complet du festival est disponible sur le site web de Jazz à Ouaga .

Entre autres artistes invités on retrouve :

Le Nouveau Trio Gitan sous la houlette de Christian Escoudé (France)
Mina Agossi (France-Bénin)
Toumani Diabaté & le Symétric Orchestra (Mali)
David Tayorault Quintet (Côte d’Ivoire)
Bassékou Kouyaté & le Ngoni Ba (Mali)
Jean-Christophe Briant Quintet (France)
Cry Baby Quartet (Hollande)
Marcel WORMS Trio (Hollande)
King Kora big band (Suisse)
Alexandre Furnelle Quartet (Belgique)
Yapa Jazz Quartet (France)
Hip-Jazz Trio (France)
Pitch Quartet (France)
Dumba Kultur (Burkina Faso)

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Site touristique : La vieille mosquée de Bobo-Dioulasso

La vieille mosquée de Bobo-Dioulasso est situé près de l’hôtel de ville dans le vieux cartier situé au centre de la ville de Bobo-Dioulasso,  La mosquée est très réputée et frequentée  par des très nombreux touristes et fidèles, il faut dire que l’édifice, en banco dans un style soudanais avec ses deux minarets rapellant avec leurs pieux de bois rappel, les mosquée du Nord du Burkina Faso et du Sud du Mali.  Elle a été construite en 1890 par l’Almani Sidiki SANON. Les visites se font dans la matinée uniquement. C’est un beau site à visiter dans la ville de Bobo-Dioulasso. Les 2 minarets sont particulèrement impréssionnants au moment du couche de soleil.

Vieille mosquée de Bobo-Dioulasso

Vieille mosquée de Bobo-Dioulasso

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FESTIMA 2010 : Le Festival International des Masques et des Arts de Dédougou

La 10e édition du Festival International des Masques et des Arts de Dédougou ou FESTIMA 2010 est prévue du 24 au 28 février 2010 au Burkina Faso. Le programme en détail peut être télécharger ici sur le site web officiel du festival international des Masques et des arts de Dédougou.
Ce festival culturel est tenu chaques 2 ans et il a été lancé en 1996 à l’initiative de l’Association pour la sauvegarde des masques (ASAMA). Le festival vise à renforcer l’identité culturelle issue des masques et à revitaliser cette tradition au niveau régionale, sous régional et international.
Festival international de masques de Dédougou

Festival international de masques de Dédougou

Le thème de la 10e édition est « Caricature, dérives et détournements du masques ». Après plus de 10 ans de rayonnement et de valorisation de la tradition des masques, de nouvelles questions sont apparues. En effet, principalement en raison du tourisme, les caricatures, les dérives et les détournements du masque sont de nos jours les principales préoccupations des sociétés traditionnelles de masques.

Cette 10e Edition du festival international des masques et des arts de Dédougou accueillera 34 villages ou groupes de sociétés de masques d’Afrique, d’Europe et d’Amérique. Le festival de masques de Dédougou au Burkina Faso permet aussi l’observation des divers types de masques traditionnels, notamment, les masques de feuilles, les masques de fibres, masques de plumes, masques blancs, masques de paille, masques de peaux.

Le FESTIMA 2010 s’articulera autour de quatre composantes :

–  Festival de masques
–  Symposium sous régionale sur le thème de l’édition
–  Marché des communautés
–  Soirée cabaret

Pour avoir déjà assister à 3 reprises au FESTIMA, nous pouvons vous dire que c’est un des rendez-vous à ne pas manquer au Burkina Faso. En effet antant sur le plan social que culturel c’est une occasion unique de se divertir et de participer à une communion de savoir et d’expérience culturelle unique. Un rendez-vous à ne pas manquer pour tous les pationnés d’art, de culture et de savoir traditionnel. Au plaisir de vous y croiser.

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Journées cinématographiques de la femme africaine

La délégation générale du FESPACO à annoncer hier le 1er février, lors d’une conférence de presse tenu à Ouagadougou, le lancement des Journées cinématographiques de la femme africaine, que auront lieu du 3 au 7 mars 2010. Plusieurs personnes incluant nous se demandaient ce qui advenait du Cinéma Africain en dehors du festival tenu à chaques 2 ans. Maintenant, les femmes cinéastes Africaines auront une vitrines leur permettant de mieux faire connaitre leur travail, leur Art.  En effet, l’événement se fixe pour objectif de promouvoir la femme africaine de l’image, de traiter des difficultés que ces professionnelles rencontrent et de participer au réseautage de l’évènement avec les autres festivals de ce genre dans le monde.

L’évènement fera place à au moins 37 films qui ont été soigneusement sélectionner (longs métrages, courts métrages, documentaires série TV) et plus de 20 pays sont attendus dans 4 salles de projection à Ouagadougou ( le ciné Burkina, le ciné Neerwaya et celles du Centre culturel français) et une à Koudougou lieu de la Journée internationale de la femme cette année. La manifestation sera ouverte également aux cinémas japonais et indien. Les journées cinématographiques de la Femme Africaine seront présentées sous forme de gala sans une remise de prix mais les oeuvres invitées recevront des trophées de participation dénommées Saraaouina.

Nous croyons que cet évènement contribuera positivement au cinéma africain en général et aux femmes qui y oeuvrent au Burkina Faso ainsi qu’à toutes les femmes du continent qui trop souvent peinent à faire entendre leur voix, leur réalité et leur vision du monde qui les entourent et dont elle sont des actrices de haute importance.

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Chefferie Royale de Tiébélé en pays Kassena, un site touristique exceptionnel du Burkina Faso

Tiébélé c’est d’abord un village, mais ce village possède un attrait touristique intéressant, La chefferie de Tiébélé. La cours royale de Tiébélé est en effet la plus grande chefferie du « pays Kassena », situé dans le sud du Burkina Faso. Son histoire est longue mais les datations restent floues. La tradition orale fait toutefois mention de son existence depui le temps des invasions djermabè, autour du 16ieme siècle. De nombreuses recherches sont et ont été menées afin de préciser l’historiques et de déterminer plus précisément le rôle de la chefferie de Tiébélé dans l’histoire du pays kassena du Burkina Faso.

La cour royale de Tiébélé est aujourd’hui une véritable attraction surtout pour les coopérants et autres touristes étrangers. L’habitat kassena y est particulièrement bien représenté avec ses décorations murales colorées (peintures et gravures géométriques) et l’authenticité de cette cour royale jusque là très bien conservée et encore habité.

La cours royale de Tiébélé comprend entre autres attraits :

À l’entrée de la concession Royale on apperçoit :

  • Le Pourrou : Un énorme tas de déchets et d’immondices que l’on retrouve devant le site et qui est sacré chez les Kassena. A l’intérieur sont enterrés les placentas des enfants nés dans la cour du chef. C’est au sommet du Pourrou que les responsable traditionnels annoncent les nouvelles aux habitants du village. Le Pourrou de Tiébélé est particulièrement grand et atteste ainsi de l’ancienneté de la cour royale et de l’importance de la famille du chef.
  • Un figuier rouge : Il atteste également de la puissance de la chefferie de Tiébélé un ancien proverbe Kassena affirme que : « Toutes les familles puissantes possèdent un figuier devant leur cour ».
  • Les pierres sacrées : Situées à côté du figuier,c es pierres sont réservées aux princes et membre de la famille de la cour royale. Il est interdit à toute autre personne de toucher ces pierres ou de s’y asseoir. Aux alentours, d’autres pierres sont réservées pour les notables du village ou les étrangers.

À l’intérieur on retrouve plusieurs types de cases :

  • Les cases Rondes ou « Draa » en langue Kassena :
  • :

    Village Kassena Sud Burkina Faso

Elle sont sont réservées aux hommes célibataires et possèdent au toit conique en paille.

  • Les cases rectangulaire ou « Mangolo » :
  • Village Kassena Burkina Faso

Qui sont réservées aux jeunes couples. Dans la société Kassena, la femme vient habiter dans la famille de son mari.

  • Les cases en huit ou « Dinian » :

Les dinian sont destinées aux vieux couples et aux enfants en bas âge. Elles comportent généralement trois pièces : une cuisine, une chambre et une salle d’accueil.

  • la case au fétiches ou Nakongo :

Situé à droite de la porte d’entrée de la cour royale. C’est la maison des ancêtres de la famille royale à l’intérieur de laquelle sont jugés les habitants du village selon la coutume.

Autre caractère particulier de l’intérieur de la chefferie Kassena de Tiébélé, les peintures et les gravures géométriques murales, réalisées par les femmes. Ces décorations murales sont typiques de tout le pays Kassena et celle de Tiébélé en particulier compte parmis les plus jolies.

Village Kassena du Burkina Faso

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Sagamusik , un Salon pour la promotion de la musique Africaine

Du 19 au 21 novembre 2009, Sagamusik, un salon crée pour promouvoir et mieux faire connaitre la musique africaine se tiendra à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. Cette année le thème sera placé sous le thème : L’industrie musicale en Afrique : forces et faiblesses,

L’objectif du salon SagaMusik est de répondre dans la mesure du possible aux attentes des professionnels de la musique tout en sensibilisant les non-initiés à l’importance et la spécificité des artistes Africains. Pour les professionnels du domaine de la musique africaine et du Burkina Faso, ce Salon sera à la fois une vitrine, tourné vers l’international, et leurs homologues du sous-continent Ouest Africain.

Le public en général est lui pris à partis via les différents Stands d’exposition, lieu de recontre et d’échange avec les artistes et les professionel du millieu artistique, ainsi que par les nombreux spectacles et performance qui accompagne l’évènement. Une quarantaine d’artistes musiciens, venus du Burkina de la Guinée, de la Côte d’Ivoire, tels que Bailly Spinto, Petit Meguelito, Daouda Koné, Fodé Baro, Victor Démé et des artistes burkinabè tels Floby, Wendy, Bil Aka Kora, Aly Verhutey, Mys participeront à l’évènement.

Le salon se terminera le samedi 21 octobre avec la remise de prix aux meilleurs artistes burkinabè de cette année. Les organisateurs feront pour ce faire la compilation des chiffres recueillis auprès du Bureau burkinabè des droits d’auteur (BBDA), des producteurs et des distributeurs. Ces meilleurs artistes seront récompensés respectivement par des disques de diamant, de platine, d’or, d’argent, d’ivoire, d’ébène et de cauri.

La première édition du salon qui a eu lieu l’an passé, avait enregistré plus de 5000 visiteurs et la participation de 20 structures oueuvrant pour la musique Africaine. Cette 2e édition nous en promet beaucoup et saura très certainement dépassé les attentes et faire rayonner la Musique Africaine et les artistes qui luttent pour la faire connaitre et apprécier.

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Faso Kombat , un groupe de Rap du Burkina Faso

Faso Kombat, c’est un groupe de musique engagé du Burkina Faso composé de Malk’hom un Burkinabè né en Côte d’Ivoire et de David du Burkina Faso. Les 2 membres de la formation de talent ce sont rencontré au hasard du chemin, mais maintenant unis comme les doigts de la mains ils ont réussi à dépassé les clichés nationaux et à se faire reconnaitrent au prix d’un dur labeur et de l’unification de leurs talents respectifs.

Le titre de leur premier Album est évoquateur de ce combat pour l’expression et la reconnaissance de leur revendications musicales : « Parcours des combattants« . Cet album parlait de plusieurs thèmes qui leur sont chers tel que la situation politique et sociale en Côte d’Ivoire, les orphelins, les conditions de vie des étudiants et des habitants des villes Ouest Africaines et général, le chomage chronique et de l’importance de se battre contre une vie difficile afin d’atteindre des buts et d’aspirer à une réalité meilleure. C’est d’ailleur avec une discipline de fer que ces 2 guerrier de l’Afro hip hop, un style musical apparenté au Rap mais afin des rythmes traditionnel et des thèmes Africains. Une particularité de ce groupe est la composition et la cohabitation bilingue des chansons en langue Mooré ( David )  et en français ( Malk’hom) qui contribue à l’appropriation de message par les populations du Burkina Faso qui vivent contidiennement cette dualité culturelle.  Bref, Faso Kombat, c’est un groupe du peuple qui représente le peuple via ses chansons et ses paroles engagées représentant le quotidien de gens notre coin de pays, et ce, en conjuguant les différences aux lieu de les opposées.

Paroles et rythmes engagés au profits de la multitude, leur second album « Diamant et Mirroir » poursuit le même combat du vrai contre le faux, des vrais valeurs humaines contre celles qui nous mènent dans l’illusion. Bref, Faso Kombat, c’est un combat pour l’Afrique et les africains, pour la valorisation du continents et ces habitants, c’est de la morale et de la politique visant à reprendre confiance dans les valeurs profondes qui font d’un peuple un continent !

Voici le vidéo de la chanson Ghetto Biiga du groupe Faso Kombat une chanson que j’affectionne particulièrement :



Faso Kombat – Ghetto Biiga (Burkina,Ouagadougou)

envoyé par Thiat-85. – Regardez plus de clips, en HD !

et le vidéo de la chansons thèmes du 2e Album Diamant et Mirroir :

On peut aussi écouter d’autres extraits et obtenir plus de renseignement sur ce groupe via sur la page Myspace de Faso Kombat

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Cinéma Africain en Danger la cinémathèque à Ouagadougou touchée par les inondations

À la suite des innondations ayant touchées l’Afrique de l’Ouest et encore plus durement Ouagadougou la capitale du Burkina Faso,  une partie majeure des archives du Cinéma Africain, la cinémathèque à été touchée et des nombreuses bobines de films endommagées.

Lorsque j’ai appris cette nouvelle j’ai été complètement scandalisé du peu d’importance accordé de la sécurité et de l’entreposage de cet héritage culturel Africain. Une question est alors venue frapper mon esprit :

Mais pourquoi toutes ces bobines, tout ces films témoins de la réalité africaine n’ont pas été numérisées et mises en ligne sur Internet ?

On viendra surement me faire des commentaires sur le droits d’auteurs, sur manque de ressources etc .. Mais je crois que lorsqu’il y s’agit d’une question partrimoniale, de témoignages historiques et culturels il y devrait y avoir des solutions trouvées. C’est à mes yeux un crime contre l’humanité sinon une faute grave que de courrir le risque de perdre cette archives unique et riche de valeur culturelle et patrimoniale.

Je propose, même que je défis,  les autorités de voir ce qu’elles peuvent faire, aux institutions Burkinabè et Africaines, à l’UNESCO et aux divers partenaires mondiaux au Burkina Faso et ailleurs dans le monde ce qu’ils peuvent faire en ce sens. J’offre même mes services, mon temps et mes ressources si on me le demande afin de préservé et sauvegarder ce qui peut encore l’être.

Je vous invite à consulter la courte vidéo suivante qui couvre le sujet :


Ouagadougou: La cinémathèque touchée par l’inondation
envoyé par Nzwamba. – L’info internationale vidéo.

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